Il y a des choses que l’on a envie d’avoir plus que d’autres. Vous savez quand à Noël vous souhaitez un cadeau plus qu’un autre. Même si vous recevez une multitude de petits plaisirs (peut-être même plus cher que le plaisir que vous désirez) vous ne serez pas satisfait ! Le seul qui peut rassasier votre faim, c’est celui que vous avez décidé de choisir. On différencie tous, selon nos caractères, l’idéal de notre bonheur.
Je pense pouvoir dire que j’ai réussi à atteindre d’une certaine façon ce bonheur ce lundi 30 septembre. Pourtant, Sydney m’a aussi offert un bel échantillon de joie, mais voilà, ce n’était pas le cadeau que je convoite tant ! Celui que je désire est un peu plus vétuste, plus « bordeline », peut-être moins glamour, mais so aventureux. Un désir essentiel pour me permettre de continuer l’aventure en toute liberté. Vous l’avez deviné, j’ai enfin ma petite voiture, ma maisonnette et mon compagnon de route pour toute cette année en Australie. Cette aventurière m’accompagnera pour le meilleur comme pour le pire !
Cette belle rencontre je la dois aussi en dehors de la participation de Grégoire, à notre très cher vendeur Hugo, un portrait lui sera spécialement dédicacé, car qui dit personne hors-norme ; dit histoire à raconter.
Concernant ma dulcinée, elle s’appelle la Holden Commodore, une « cougar » de 1997 qui à encore de beaux restent sous le capot. Tout de blanc vêtue, elle présente un espace remarquable et un confort optimal pour passer les nuits à ses côtés. Un peu marquée par quelques histoires d’amour plus ou moins mouvementées, elle reste des plus agréables à regarder malgré les « jeunettes » actuellement sur le marché.
Le premier regard aussi important soit-il, ne permets pas de dire si la relation sera durable. Il faut d’abord la tester. Ce qui vient d’être fait sur 300km. Première impression ? Sauvage mélange de puissance, d’ancien, de liberté et d’aventure.
Ses loyaux services lui valent quelques séquelles. Nous avons remarqué que son allume-cigare ne fonctionne plus et que sa climatisation n’est plus au top de sa forme. Mais pour la protéger de ses soucis de vieillesses, nous avons souscrit à une assurance. Résultat, son allume-cigare est au top, après une visite chez un très sympathique mécanicien et nous pourrons dans les prochains jours changer sa ventilation.
En attendant, elle nous a déjà permis de passer une nuit à ses côtés qui aurait été notre dernière sans sa présence… ayant avancé un peu plus dans les terres, les températures sont plus fraiches. Nous avons donc très fortement ressenti cette fraicheur, au point d’avoir du mal à fermer l’œil ! Pour nous aider un peu plus, nous avons décidé d’investir dans des duvets pour tenir le coup toute l’année.
Pour cela, il a fallu aménager notre compagnon de route, passer de la lucky luke des routes, à l’ange gardien de nos nuits. Force est de constater, qu’elle n’a rien à envier aux grosses cylindrées des vans très à la mode ! Valises à l’avant et à l’arrière notre petit lit. Recouvert d’un matelas avec les sièges baissés, nous avons le luxe de pouvoir s’allonger entièrement à ses cotés.
Nous voici donc prêts pour partir à la découverte non plus de la grande Sydney, mais de la monumentale Australie. Notre aventure et la recherche de travail dans la récolte de fruit commencent maintenant ! Le plus excitant est donc devant nous. Se débrouiller, galérer, se disputer, se repérer, s’éclater… bref que des verbes du 1er groupe pour nous accompagner. La road (route) sera longue est parsemée d’embuches.
Road Road Road my traveling companion
Je pense pouvoir dire que j’ai réussi à atteindre d’une certaine façon ce bonheur ce lundi 30 septembre. Pourtant, Sydney m’a aussi offert un bel échantillon de joie, mais voilà, ce n’était pas le cadeau que je convoite tant ! Celui que je désire est un peu plus vétuste, plus « bordeline », peut-être moins glamour, mais so aventureux. Un désir essentiel pour me permettre de continuer l’aventure en toute liberté. Vous l’avez deviné, j’ai enfin ma petite voiture, ma maisonnette et mon compagnon de route pour toute cette année en Australie. Cette aventurière m’accompagnera pour le meilleur comme pour le pire !
Cette belle rencontre je la dois aussi en dehors de la participation de Grégoire, à notre très cher vendeur Hugo, un portrait lui sera spécialement dédicacé, car qui dit personne hors-norme ; dit histoire à raconter.
Concernant ma dulcinée, elle s’appelle la Holden Commodore, une « cougar » de 1997 qui à encore de beaux restent sous le capot. Tout de blanc vêtue, elle présente un espace remarquable et un confort optimal pour passer les nuits à ses côtés. Un peu marquée par quelques histoires d’amour plus ou moins mouvementées, elle reste des plus agréables à regarder malgré les « jeunettes » actuellement sur le marché.
Le premier regard aussi important soit-il, ne permets pas de dire si la relation sera durable. Il faut d’abord la tester. Ce qui vient d’être fait sur 300km. Première impression ? Sauvage mélange de puissance, d’ancien, de liberté et d’aventure.
Ses loyaux services lui valent quelques séquelles. Nous avons remarqué que son allume-cigare ne fonctionne plus et que sa climatisation n’est plus au top de sa forme. Mais pour la protéger de ses soucis de vieillesses, nous avons souscrit à une assurance. Résultat, son allume-cigare est au top, après une visite chez un très sympathique mécanicien et nous pourrons dans les prochains jours changer sa ventilation.
En attendant, elle nous a déjà permis de passer une nuit à ses côtés qui aurait été notre dernière sans sa présence… ayant avancé un peu plus dans les terres, les températures sont plus fraiches. Nous avons donc très fortement ressenti cette fraicheur, au point d’avoir du mal à fermer l’œil ! Pour nous aider un peu plus, nous avons décidé d’investir dans des duvets pour tenir le coup toute l’année.
Pour cela, il a fallu aménager notre compagnon de route, passer de la lucky luke des routes, à l’ange gardien de nos nuits. Force est de constater, qu’elle n’a rien à envier aux grosses cylindrées des vans très à la mode ! Valises à l’avant et à l’arrière notre petit lit. Recouvert d’un matelas avec les sièges baissés, nous avons le luxe de pouvoir s’allonger entièrement à ses cotés.
Nous voici donc prêts pour partir à la découverte non plus de la grande Sydney, mais de la monumentale Australie. Notre aventure et la recherche de travail dans la récolte de fruit commencent maintenant ! Le plus excitant est donc devant nous. Se débrouiller, galérer, se disputer, se repérer, s’éclater… bref que des verbes du 1er groupe pour nous accompagner. La road (route) sera longue est parsemée d’embuches.
Road Road Road my traveling companion