Tout reflet de cette histoire avec la réalité ne serait que pur hasard…
Cela fait maintenant un mois que l’Australie nous a tendu ses bras ! 1/12 du délai de notre Visa. Déjà pas mal de kilomètres et d’aventures. En ce moment, faute d’avoir trouvé du travail nous limitons pas mal nos déplacements. Après avoir fait un petit aparté très cours à Melbourne, nous avons décidé de retourner dans les petites villes où la vie est moins chère. Nous sommes aujourd’hui à Lorne dans le Great Ocean Road, en plus d’avoir moins de tentations, le cadre est idyllique avec des surfeurs en arrière-plans, navigants sur certaines vagues capricieuses.
L’occasion de profiter de la plage et de laisser notre voiture garer sans que cela nous coute un centime… Ce qui n’a pas était le cas dernièrement ! Si se balader en voiture c’est rentable sur le plan du logement, pour se déplacer en ville ça coute cher et ça peut faire très mal si vous ne payez pas… 2 amendes en 4 jours à Melbourne! Dont un, pour dépassement de 15 minutes ! Un souvenir parmi d’autres. L’actu n’étant pas croustillante en ce moment, je vais vous raconter quelques anecdotes qui nous (ou me sont) arrivé(s) en Australie… On dit souvent que loin de ses terres on à tendance à changer ses habitudes… et bien j’ai gardé deux coutumes bien à moi… ma tête en l’air et mes pulsions…
PS : Photos à venir dans les prochains jours quand la connexion sera meilleure :).
Cela fait maintenant un mois que l’Australie nous a tendu ses bras ! 1/12 du délai de notre Visa. Déjà pas mal de kilomètres et d’aventures. En ce moment, faute d’avoir trouvé du travail nous limitons pas mal nos déplacements. Après avoir fait un petit aparté très cours à Melbourne, nous avons décidé de retourner dans les petites villes où la vie est moins chère. Nous sommes aujourd’hui à Lorne dans le Great Ocean Road, en plus d’avoir moins de tentations, le cadre est idyllique avec des surfeurs en arrière-plans, navigants sur certaines vagues capricieuses.
L’occasion de profiter de la plage et de laisser notre voiture garer sans que cela nous coute un centime… Ce qui n’a pas était le cas dernièrement ! Si se balader en voiture c’est rentable sur le plan du logement, pour se déplacer en ville ça coute cher et ça peut faire très mal si vous ne payez pas… 2 amendes en 4 jours à Melbourne! Dont un, pour dépassement de 15 minutes ! Un souvenir parmi d’autres. L’actu n’étant pas croustillante en ce moment, je vais vous raconter quelques anecdotes qui nous (ou me sont) arrivé(s) en Australie… On dit souvent que loin de ses terres on à tendance à changer ses habitudes… et bien j’ai gardé deux coutumes bien à moi… ma tête en l’air et mes pulsions…
- To Forget, forgot, forgotten, will forget… Je le conjugue à tous les temps, car je pense que le mot oublier risque de m’accompagner à vie ! Je m’étais promis de ne plus utiliser ce verbe voire même de l'effacer… Après quelques jours à Sydney pour repérer les lieux et profiter du paysage, nous avions décidé de faire une sortie un peu plus originale. Aller assister à un concert de jazz dans un bar réputé. Tout heureux de proposer cette belle initiative, je réserve via internet et j’annonce à Greg que le concert aura lieu demain à 21h comme indiqué sur le site. OK. Le lendemain après voir visité Sydney et son aquarium, nous rentrons pour aller assister à au concert de jazz dans une ambiance relaxée. Je regarde les billets sur mon portable une dernière fois avant de partir… Je regarde une deuxième fois… puis une troisième avec un petit cri qui s’échappe de ma gorge. Greg me regarde et me dit : « Qu’est ce qu’il y a ? », je lui réponds du tac au tac : « ça ne te dirait pas plutôt un bon resto ce soir ? »… Le spectacle commençait à 18h : il est 19h30 !
- Rassurez-vous, il n’y a pas que de l’oublie… il y a aussi des belles déclarations d’amour… ou pas ! Cela se passe à McDo. Je pensais prendre mon petit menu quarter meal machinalement et discuter avec mon compagnon route de notre prochaine destination. C’était sans compter sur un élément perturbateur de cette douce routine : mon cœur. Lorsque mon regard c’est détourné du panneau hamburger pour arriver directement sur le visage angélique de la serveuse, m’ont cœur n’a fait qu’un bond. Encouragé par son sourire enjoué et un regard ravageur, je pense pour la première fois de ma vie avoir eu envie de rester "ad vitam eternam" dans l’antre de Ronald… Mais je ne pouvais pas partir comme ça, pas sans regret ! J’ai décidé d’apporter ma « french touch » en écrivant un mini poème. Un poème traduit en anglais par Grégoire laissant libre cours à mon imagination. Signé avec mes coordonnées, je décide de lui donner avant de partir, j’observe un large sourire au moment de le recevoir. Je lui dis de le lire après mon départ, heureux de partir par la grande porte… Enfin c’est ce que je pensais en recevant dans les heures, voir dans les jours à venir, un appel ou un texto… Peut-être que l’allusion à l’éclaircie dans le brouillard était un poil trop fort, reste néanmoins que la conclusion n’a pas été à la hauteur de cette entrée en matière… pas de réponse encore jusqu'à ce jour…
- Dans tout ça il y a aussi des aventures communes. On ne va pas tout me mettre sur mon dos non plus ;). Ce souvenir date de notre départ en voiture la deuxième nuit que nous avons passée à Leeton. Après une bonne nuit de sommeil, nous repartons sur la route. La voiture démarre, mais avec difficulté, on se dit qu’il faudra surveiller ça… quelques mètres plus tard nous arrêtons nôtre Commodore pour aller demander des renseignements à l’office du tourisme. Surprise à notre retour ! La voiture ne fonctionne plus, la batterie semble à plat... Comment est-ce possible, nous venons de l’avoir ? Nous regardons le tableau de bord ; déclic ! Nous sommes en pleine journée, les phares sont allumés. Petite réflexion, Greg a conduit hier soir, nous avons dormi dans la voiture, mais vraisemblablement sans penser à éteindre les phares. Nous avons la cause, nous reste maintenant à trouver la solution. Une issue se présente alors dans notre rétroviseur. Je vois une camionnette avec une personne qui semble être du coin, mais surtout avec du matériel pour nous aider. Je prends mon courage à deux mains pour aller lui expliquer la situation avec mon pauvre anglais. Après quelques minutes de galères, ce massif australien à la moustache parfaitement taillé, vient gentiment nous porter renfort. Avec l’aide de ses pinces et de sa camionnette, il réanimera notre chère Holden. Tout qui fini bien ! Reste que l’histoire aurait pu tourner au vinaigre, car nous avions laissé la boite automatique sur marche, au moment où notre sauveur a essayé de la démarrer… sans succès ! Heureusement, car nous nous serions retrouvés sans voiture et recherchés pour homicide involontaire !!!
- La coupe presque… imparfaite ! Pour terminer cette liste non exhaustive de petites anecdotes, je vais vous raconter la plus récente (et peut-être la plus catastrophique) ! Partir en Australie, c’était aussi l’occasion pour moi de changer mes habitudes. Une qui me traine à la peau ou plutôt au cuir chevelu dans ce cas : mon coiffeur ! Depuis mon plus jeune âge, j’ai eu le luxe de pouvoir aller chez le coiffeur à chaque fois que je commençais à ressembler à Frodon. J’ai donc décidé de devenir mon propre coiffeur et de faire une petite économie... pour un gros résultat ! Armé de ma tondeuse et de ses différentes graduations allant de 6 mm à 36mm pour couper le cheveu, j’ai commencé par me mettre sur mon 31 en coupant mes cheveux sur les côtés à 36 mm. Petit regard dans le miroir du camping, je me dis que je ne suis pas loin d’avoir trouvé mon futur métier. Il me reste juste à raccourcir un peu plus pour être serein et ne plus toucher à mes cheveux avant deux mois. Je passe à 16. Tout commence plutôt bien, jusqu’à ce que je pense détecter une imperfection dans ma coupe. Je décide de raccourcir un peu plus… erreur… je creuse un petit trou, mais suffisant pour être choquant ! Je décide de raccourcir le reste… pour le même résultat… Catastrophe ! Je ressemble à un fou à lier échappé dans la nature. Vite, il me faut remédier à cette situation avant qu’on vienne me ramener à l’asile ! J’appelle Greg à mon secours. En tant que connaisseur des catastrophes capillaires, je lui donne l’entière responsabilité de la suite des opérations. Une opération d’urgence qu’il réalisera avec succès en limitant mes dégâts au maximum ! Je ressors donc quasi chauve sur les côtés, mais avec l’impression d’avoir été sauvé du pire. Un nouvel homme est né, mais pas en tant que coiffeur c’est sur !
PS : Photos à venir dans les prochains jours quand la connexion sera meilleure :).